s. m. Celuy qui offense. Corneille a dit dans le Cid :

En cet affront mon pere est l'offencé,

Et l'offenseur est pere de chimene.

Quelques Critiques ont accusé ce mot de n'estre pas François, mais l'autorité d'un si grand homme est suffisante pour l'establir ; outre la necessité qu'a la langue de cette expression.